Concert symphonique
Richard Wagner, Idylle de Siegfried
Franz Liszt, Concerto pour piano n° 2
Georges Bizet, Symphonie en ut majeur
C’est un piano vocal et inspiré que Marie-Ange Nguci donne à entendre à chacun de ses concerts, en récital comme en concerto. Sa maîtrise technique exceptionnelle et sa sensibilité profonde offrent à la complexité du Concerto n° 2 de Liszt une précision rare. Inspiré par Gounod, Bizet compose sa première symphonie, trépidante, où se retrouvent déjà les influences orientalistes et le lyrisme qui traverseront toute son œuvre.
En partenariat avec le Groupe d’entraide mutuelle (GEM) Tertio, La Maison de Louis, D’une rive à l’autre, l’ADAPEI et M en rouge.
Téléchargez ici le programme séance détente (FALC)
Autour du concert
Mardi 15 avril à 17 h : Conférence de Robert Pierron à propos de Liszt ou Le piano solitaire, Grand-Théâtre, Foyer Rouge (Les Amis de l’ONBA)
Ils ont dit :
« Son jeu pianistique est orchestral, polyphonique, faisant vivre chaque ligne comme si elle était indépendante tout en préservant la cohérence de l’ensemble »
« Le prodige franco-albanaise »
« Sa maturité hors norme n’est décidément pas celle d’une jeune femme de 23 ans »
« Marie-Ange Nguci est bien plus qu'une pianiste, c'est une musicienne à la culture immense »
« Au clavier, le résultat est absolument époustouflant : son jeu est à la fois très musclé et puissant, mais aussi infiniment voluptueux et poétique. La main gauche est vigoureuse, et à tout instant, on ressent la compréhension totale des œuvres qu'elle aborde »